samedi 24 août 2013

Arrested development

Hourra ! Arrested development revient pour une quatrième saison, dix ans après son brutal et on ne peut plus injuste arrêt, grâce à la bonne fée Netflix (site américain de streaming légal).

En même temps, pour s'en réjouir, encore faut-il avoir réussi à découvrir ce joyaux de comédie américaine, aussi hilarant qu'intelligent, tourné entre 2003 et 2006 et inédit en France. Car oui, si je vous parle de « The final Countdown » ou de mini shorts en jean et que ça ne vous fait même pas sourciller, vous devez d'urgence découvrir Michael Bluth et sa famille dégénérée.

Sur un format de 20 minutes, les 22 épisodes que comptent la première saison vous présentent l'histoire d' « une riche famille qui a tout perdu et d'un fils qui n'avait pas d'autre choix que de tous les réunir ». Voici le pitch qui démarre chaque épisode, inlassablement répété par la voix doucement ironique de Ron Howard, également producteur de la série, qui se prête sur les 4 saisons à une narration qui apporte beaucoup à l'humour et au rythme de la série.

Synopsis : Suite à de nombreuses malversations, le patriarche de la riche famille Bluth se retrouve emprisonné. Michael, le second fils et le seul ayant une once de raison, va tout faire pour remettre les affaires de sa famille à flot. Flanqué d'une sœur jumelle égocentrique et de son mari ancien psychiatre néo-comédien raté, d'une mère sans foi ni loi et alcoolique dès le petit-déjeuné, d'un grand frère magicien immature, d'un petit frère pas dégourdi pour un sous et d'une voiture-escalier, il va tenter envers et surtout malgré toute sa famille de laver la réputation de la Bluth Cie.

La série repose sur des blagues à répétition. Je ne peux donc que vous encourager à revoir les épisodes et, est-il utile de le préciser, de la regarder en V.O...